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Logement, moyens de transport, lieu de travail, école… Nous passons plus de 80 % de notre temps dans des lieux clos, et l’air que nous y respirons n’est pas toujours de bonne qualité.

Outre les apports de l’air extérieur, les sources potentielles de pollution dans les bâtiments sont en effet nombreuses : appareils à combustion, matériaux de construction, produits de décoration (peinture, colles, vernis…), meubles, activité humaine (tabagisme, produits d’entretien, bricolage, cuisine…). A l’intérieur des logements, l’air et bel et bien pollué de manière spécifique par rapport l’air extérieur.

La bonne qualité de l’air à l’intérieur d’un bâtiment a un effet démontré sur la qualité de concentration, le taux d’absentéisme dans les écoles, le bien-être.

A contrario, une mauvaise qualité de l’air peut favoriser l’émergence de symptômes tels que maux de tête, fatigue, irritation des yeux, du nez, de la gorge et de la peau, vertiges ainsi que les manifestations allergiques et l’asthme.Il est donc important de mettre en œuvre des actions pour améliorer la qualité de l’air intérieur, que ce soit dans les logements ou dans les établissements recevant du public comme les écoles.

Afin de garantir une bonne qualité de l’air intérieur, il faut :

- limiter les sources de pollution ;

- avoir un système de ventilation qui fonctionne bien ;

- aérer régulièrement 10 minutes par jour en hiver et 30 minutes en été en ouvrant les fenêtres.


Un air sain chez soi - Ademe - 2017


Sur le site du ministère de la transition écologique et solidaire, retrouvez divers éléments concernant ce sujet et comment réduire son exposition aux principales sources de pollution de l’air intérieur :

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